✊ Martine est née dans une famille modeste imprégnée de fortes valeurs de justice sociale, avec un père engagé dans la politique locale, le syndicalisme et la vie associative. Elle en a hérité avec beaucoup de reconnaissance. Sa mère, elle, lui a appris que prendre sa place est souvent un combat quand on est une femme. Cela a profondément marqué ses choix de vie.

Enfant, elle a fréquenté un mouvement de jeunesse dont elle a gardé le sens de l’équipe. Mais elle sait se rebeller pour défendre ses valeurs : les manifestations et les actions de désobéissance civile non violentes ne lui font pas peur. Gandhi est une référence pour elle.

👫 Martine a dédié sa carrière à l’humain, d’abord dans l’associatif, puis en service public pour favoriser l’emploi et l’égalité homme-femme. Ses fonctions l’ont amenée à représenter la Belgique dans des organisations internationales, où elle a appris l’art du compromis et du respect de la différence, mais aussi l’humilité et les bienfaits de la reconnaissance. Elle en a gardé le goût de la découverte de l’Autre et des différentes cultures. 🚄 🌍 D’ailleurs, elle voyage avec chacun de ses petits-enfants, qui la font sortir de sa zone de confort en proposant des destinations, qui donnent souvent lieu à des négociations.

Elle est incapable de faire quelque chose à moitié et de dire non lorsqu’on la sollicite pour une cause qui lui tient à cœur. Qualité, mais aussi défaut, car elle en oublie parfois de penser à son équilibre personnel. Mais en prenant de l’âge, elle s’améliore. (smiley chat clin d’oeil)

👀 👂 Elle aime observer et écouter les gens, elle peut passer de longs moments seule sur une terrasse à prendre le pouls du moment. 🌳 🚶‍♀️ Marcher dans la nature et enlacer les arbres l’apaise et lui donne de l’énergie. Chose peu courante aujourd’hui, elle ne conduit pas, un choix qui la rend très sensible aux politiques de mobilité.

Son thème de prédilection, c’est bien évidemment l’humanité, à placer au centre de toutes les décisions politiques.

Si Martine était…

… une phrase, elle serait « Obéir n’a jamais changé le monde » de Timotéo Sergoï ; elle ajouterait obéir aveuglément, car si l’on comprend et que l’on adhère aux motifs de l’obéissance, celle-ci se transforme en respect

… une région, elle serait les Asturies, où le pied des montagnes touche l’immensité de la mer, où les gens sont authentiques et accueillants, où les traditions ont encore du sens, el paraiso natural comme ils disent

… un aliment, elle serait le chicon, ce légume bien de chez nous, cuisiné ou cru, elle en mangerait tous les jours, mais pas hors saison

… en bonus, une émission, elle serait Les rencontres du papotin,  pour le ton décalé des journalistes, la pertinence de leurs questions et l’impossibilité d’échapper à une réponse authentique